Le kendo de A à Z

A

  • Aite : L’autre, le partenaire, l’adversaire.
  • Anza : Position assise « en tailleur ».
  • Arigatou Gozaimashita : Merci beaucoup ! Généralement utilisé à la fin de chaque exercice pour remercier son partenaire
  • Ashi : La jambe. Le pied.
  • Ashi Sabaki : La façon de se déplacer.
  • Atama : Le sommet de la tête.
  • Ato : « En arrière ».
  • Ayumi Ashi : Forme de déplacement identique à celui de la marche habituelle.

 

B

  • Bogu : Armure , celle que l’on porte en Kendo est composée de 4 parties principales: Men Do,Kote,Tare
  • Bokken (ou Bokuto) : Sabre de bois plein.On l’utilise essentiellement pour les katas.
  • Budô : Voie de la guerre. Désigne l’ensemble des arts martiaux japonais.

 

C

  • Chudan No Kamae : C’est la garde la plus courante , celle que l’on apprend en premier elle se nomme aussi garde du milieu
  • Chui : Attention. Remarque. « Prêtez attention ». En arbitrage pénalité légère.
  • Chuken : Le troisième combattant dans une équipe de cinq
  • Chushin : Centre, le milieu.

 

D

  • Dan (grade) : Grades correspondant à la ceinture noire. Un kenshi commence par le premier Dan et à la possibilité de progresser jusqu’au 8ème.
  • Datotsu : L’ensemble des coupes (UCHI) et des coups d’estoc (TSUKI) utilisés dans la pratique du kendo.
  • Datotsu bu : La partie valable du shinai avec laquelle on peut porter une coupe (UCHI) ou un coup d’estoc (TSUKI) valable.
  • Datotsu bui : Les parties des protections où peuvent être délivrées les coupes et l’estoc.
  • Debana / Degashira : Temps d’attaque sur l’intention ou sur le début d’attaque de l’adversaire.
  • Do : Le tronc. Désigne aussi le nom de la frappe au tronc et le plastron de protection.
  • Dôjô : « Lieu de pratique de la Voie », par extension, salle où l’on pratique le kendo.

 

F

  • Fukushin : Arbitres latéraux.
  • Fukusho : Le quatrième combattant dans une équipe de cinq.
  • Fumikomi : La définition qu’en donnent les Karatekas est coup de pied écrasant. En ce qui nous concerne le fumikomi est la frappe du pied droit au sol coordonnée avec la coupe du sabre.

 

G

  • Geiko (Hassa) : Geiko du matin. Il se pratique pendant environ une heure  entre 6 et 7 heures ou entre 7 et 8 heures et est suivi par un copieux petit déjeuner.
  • Geiko (Hikitate) :
    • Moto dachi casqué : nécessité d’un bon motodachi qui va se déplacer dans la situation d’un assaut, il ne propose pas d’ouvertures, il ne laisse pas s’installer de temps morts, attentes ou latences de la part de kakari; celles-ci et les opportunités non-visualisées par kakari sont aussitôt sanctionnées par l’attaque de moto dachi. Les ouvertures dues à une négligence ou une faiblesse de la garde de kakari sont aussi sanctionnées d’une coupe de moto dachi. Ce dernier peut parfois développer des techniques de réplique à l’attaque de kakari mais il y préfèrera des attaques directes.
    • Kakari casqué : s’exerce à visualiser très rapidement les opportunités d’attaque, et à juger de la validité de sa coupe.
    • Attention :
      • il ne s’agit pas encore d’un ji geiko, moto dachi reste un instructeur, il ne cherche pas à “marquer” pour son propre compte, son ippon doit rester un modèle d’enseignement de la coupe pour kakari ou un feed-back pour que kakari prenne conscience d’une erreur dans sa pratique.
      • MD n’est pas qu’instructeur, il “apprend à s’imposer devant l’adversaire sans frapper, il apprend à se déplacer efficacement tout en restant en garde”, “les débutants sont d’excellents partenaires pour son entraînement technique” (Yoshimura K.). Ceci se cumule avec les remarques concernant le rôle de moto dachi dans le uchi komi geiko et les avantages qu’il en retire.
  • Geiko (Ji ou Gokaku) : Les deux partenaires ont atteint un bon niveau et il est souhaitable qu’il n’y ait pas trop de différence de niveau entre eux. Ils s’engagent totalement, chacun tentant de saisir l’opportunité au plus tôt pour développer son attaque.
  • Geiko (Kakari) :
    • Moto Dachi casqué : en chudan kamae fait des ouvertures nettes peu importantes (ou bien lance une attaque), reçoit la coupe (directe ou réplique à son attaque), s’efface,  se retourne, chudan kamae, donne la bonne distance et offre l’ouverture (ou l’attaque) sans temps d’arrêt …. etc
    • Kakari casqué : respecte la distance (soit issoku, soit nissoku), visionne les ouvertures, délivre les coupes correspondantes (ou répliques aux attaques), passe de environ 3 à 4 okuri ashi après le ki ken taï, se retourne chudan kamae plus bonne distance et enchaine sans temps d’arrêt.
    • Procédures possibles :
      • soit la succession des coupes est prévue à l’avance.
      • soit la succession est laissée à l’initiative de moto dachi (niveau plus difficile).
      • la succession peut comporter : des coupes fondamentales isolées associées ou non à nidan waza, à sandan waza, à tai atari, à des oji waza (répliques à des attaques de moto dachi).
      • ATTENTION :    – à garder la forme correcte et les distances.
  • Geiko (Kobun) : Il s’agit ici d’enchaîner l’une à la suite de l’autre (sans temps mort) plusieurs séquences entre deux partenaires. Les séquences qui peuvent être enchaînées sont celles décrites plus haut : 1, 2, 3, 4, 5, et aussi le kirikaeshi.Il est possible d’enchaîner deux, trois, ou plus de séquences. Il est possible de combiner les séquences dans l’ordre que l’on désire. Ces points sont décidés par l’instructeur.Le partenaire A tient lors de certaines séquences du kobun geiko le rôle de moto dachi (UKG, HTG, KKRG…), puis à la séquence suivante il peut être l’adversaire à égalité de son partenaire B (JG, SG …). A la fin de l’enchaînement, A et B peuvent, à la demande de l’instructeur, inverser leurs rôles.
  • Geiko (Mawari) : Lors d’un cours ou d’un stage les kenshi casqués sont alignés et disposés sur deux lignes, face à face, en vue de s’opposer dans un ji geiko ou un shiaï geiko de courte durée (2 à 3 minutes). A la fin du temps imparti et après les saluts d’usage une rotation permet à chacun de rencontrer un nouveau partenaire. La durée totale du mawari geiko est à la discrétion de l’instructeur.
  • Geiko (Mitori) : Sans armure mais avec les oreilles et les yeux. C’est le geiko des yeux. Observer.
  • Geiko (Shiaï) : Les deux kenshi généralement des yudansha s’auto-arbitrent dans un assaut type ji geiko
  • Geiko (Shido) : Il se pratique à un niveau plus élevé avec un moto très expérimenté, capable de “tirer” vers le haut son partenaire de geiko déjà bien avancé dans son art, lors d’un assaut en véritable opposition.
  • Geiko (Uchi Komi) : (forme aboutie = face à face et port de l’armure)
    • Moto dachi casqué : en chudan kamae fait des ouvertures nettes plus ou moins importantes selon le niveau de kakari, reçoit la coupe, s’efface (éventuellement avance d’un pas) et se retourne, chudan kamae …. etc, il n’accepte les coupes de kakari que s’il a fait une ouverture (sinon reste au centre, ne laisse pas kakari dans son erreur = feed-back immédiat), il travaille énormément mentalement (visionne les erreurs de kakari, ses temps de latence, les opportunités que cela lui donnerait pour debana ou nuki …. ), il ne délivre une coupe directe ou en réplique que de façon exceptionnelle et en générale pour faire prendre conscience à kakari d’une erreur (faiblesse de sa garde ou latence) , pas pour “marquer” lui-même.
    • Kakari casqué (peut éventuellement ne pas être casqué) : suit les déplacements de moto dachi (s’il en fait) en respectant la distance décidée par l’enseignant pour l’exercice particulier (soit issoku, soit nissoku), visionne les ouvertures, délivre les coupes correspondantes, passe de environ 3 à 4 okuri ashi après le ki ken taï, se retourne.
    • Procédures possibles :
      • soit moto reste immobile à distance nissoku (concentration) et avance d’un pas et ouvre immédiatement (découvre la cible).
      • soit moto exécute 2 ou 3 déplacements nets et de petite envergure en choisissant parmi les 4 directions avant-arrière-droite-gauche (en général à distance issoku) avant de faire l’ouverture.
      • selon le niveau de kakari et les consignes de l’enseignant, moto peut proposer quelques rares ouvertures enchaînées pour amener kakari vers nidan waza
    • ATTENTION :
      • Uchi komi geiko ne doit pas devenir un kakari geiko.
      • Uchi komi geiko ne doit pas devenir un exercice d’enchaînements prévisibles, de routines (garder le kime et le zanshin).
      • Moto dachi ne doit en aucun cas se laisser entraîner vers autre chose que Uchi komi geiko, il doit rester le “maître du jeu” sinon il doit arrêter et proposer le Kakari  Geiko.

    Variantes :

    1. Uchi komi bo : Les coupes élémentaires sont portées sur des petits shinai courts (ou de longueur normale) tenus par un partenaire.
    2. Uchi komi daï : Les cibles sont fixées sur un support (poteau …) pour recevoir les coupes.
    3. Uchi komi ningyo : Utilisation d’un mannequin recouvert d’une armure.
  • Go : 5, cinq

 

H

  • Ha : Le tranchant de la lame
  • Hachi : 8, huit.
  • Hajime : « Commencez »
  • Hakama : Le hakama est le pantalon de coupe ample et pratique tombant jusqu’aux chevilles qui constitue un des éléments de base de l’équipement du Kendoka.
  • Hanmi no kamae : Garde de biais par rapport à l’adversaire.
  • Hanshi : Titre japonais de troisième niveau (Maître) qui peut être obtenu à partir du 8ème dan.
  • Hansoku : « Infraction ». Pénalité infligée à la suite de la transgression d’une règle de compétition. Deux hansoku dans un même combat donne ippon à l’adversaire.
  • Harai waza : Le harai est une technique d’attaque de base consistant a chasser le shinai de l’adversaire afin de se créer une ouverture permettant de porter une attaque décisive.
  • Hasso no kamae : Garde à mi hauteur du coté droit, la pointe de l’arme dirigée vers le haut,la tsuba proche de la bouche.
  • Hidari : A gauche.
  • Hiki Waza : Technique de frappe en reculant, le kikentai doit être bien présent ce qui complique un peu , l’attaquant profite de la contre énergie de sa frappe pour reculer en conservant les bras en l’air. Cette technique demande une bonne disponibilité et un gros entrainement
  • Hikiwake : Egalité. Match nul
  • Himo : Cordons servant à attacher les kote, le men et le do.
  • Hiraki ashi : Forme de déplacement « en sortant » de l’axe par rapport à l’adversaire.
  • Hyoshi : Le rythme

 

I

  • Ichi : 1, un.
  • Ippon : Se dit lorsque l’un des adversaire marque un point en compétition. Terme commun à d’autres arts martiaux
  • Ippon Shobu : Règle de combat ou le premier qui marque un point (ippon) emporte la victoire

 

J

  • Jyu : 10, dix.

 

K

  • Kaeshi Waza : Technique de contre attaque ou l’on contrôle le sabre en mouvement de l’adversaire afin d’en utiliser l’énergie que l’on récupère afin de la transférer dans sa propre attaque . Redoutable par exemple en Men Kaeshi Do qui donne des retours de sabres hyper rapides sur le Do.
  • Kangeiko : Ethymologiquement keiko (dans le) froid, consiste a faire keiko tous les matins pendant une période de 5 a 10 jours d’affilée pendant l’hiver. En général la période choisie est la plus froide vers le mois de Janvier ou de Février et les keiko commencent tous les matins vers 6:30. Pas d’échauffement collectif ni de suburi. Les pratiquants arrivent, ouvrent portes et fenêtres, passent la serpillière glacée, se changent et s’équipent. Un petit Mokuso pendant lequel on essaiera de ne pas trembler de froid et hop directement le Jigeiko. La seule satisfaction, matérialisée parfois par un petit diplôme, c’est d’avoir participe a tous les Keiko pendant la période du Kangeiko sans en sécher un seul. L’exercice est beaucoup moins simple qu’il n’y parait, surtout pour un occidental accoutume aux salles de sport confortablement chauffées l’hiver. Ici il faut lutter contre le froid, le sommeil, la fatigue, les engelures sous la plante des pieds (surprise garantie pour ceux qui n’en n’ont jamais eu) et les frissons dans les files d’attente lors des premiers Keiko. Ceci dit le Mokuso du salut final alors que les premiers rayons du soleil commencent a réchauffer le plancher du dojo, reste un souvenir bien agréable. Cette tradition du Kangeiko remonte a l’époque ou le Kendo faisait partie de la formation des samouraï L’accoutumance au froid, l’endurance, l’habitude de se lever tôt le matin étaient considérées comme autant de vertus guerrières que ce type d’exercice permettait d’acquérir.
  • Kamae : Le terme signifie attitude ou posture. Il se réfère généralement à des positions physiques mais également à l’aspect spirituel. Il faut toujours avoir présent à l’esprit l’étroite relation existant entre ces deux aspects. En pratique a l’énoncé de se terme nous nous remettons en garde face à notre adversaire
  • Kamae to : « Mettez vous en garde »
  • Kamiza : Côté du dôjô réservé aux enseignants et invités.
  • Kata : Dans les arts martiaux japonais, les Katas sont une forme traditionnelle de transmission du savoir des anciens, sous forme de séquences techniques codifiées.
  • Katate waza : Techniques portées en employant une seule main, généralement la gauche.
  • Keikogi : Littéralement Keikogi signifie tenue d’entrainement, le mot est composé de Keiko (la pratique, l’entraînement, l’action) et de gi (vêtement, tenu). C’est en fait la veste de couleur bleue (parfois appelée a tort kimono) que nous utilisons en Kendo.
  • Kengo : Appellation, jusqu’à la fin de l’époque d’Edô, d’un maître de sabre dont la réputation avait été acquise sur le terrain ».
  • Kensen : Désigne la pointe du sabre.
  • Kenshi ou Kendoka : pratiquant du kendo
  • Ki Ken Tai : La recherche du ki ken tai parfait est un des objectif du kenshi sa réussite conditionne la validité d’un ippon en combat. Même si on touche à un domaine lié à l’appréciation de l’observateur 3 éléments factuels permettent d’apprécier la qualité du kikentai
    1. La volonté et la détermination avec laquelle est portée l’attaque le Kiai en étant souvent une des expressions (ki)
    2. La validité de la coupe :shinai bien orienté, porté avec le 1er tiers sur une partie de frappe licite (ken)
    3. Maintien d’une position correcte durant l’attaque réalisation d’un fumikomi correct bon retour du pied arrière comme si il était ramené par un élastique position finale permettant d’enchainer une autre attaque (tai)

    Lorsque ces trois conditions sont réalisées avec brio et qui plus est d’une manière parfaitement coordonné on qualifie le ki ken tai d’itchi d’où le summum ki ken tai itchi.

  • Kiri Kaeshi : Comme les Suburis le kiri kaeshi est un travail de base. C’est une série d’enchaînement de shomen et sayumen.Elle débute par un Shomen puis par une série de 4 Sayumen en avançant et 5 en reculant et se termine par un nouveau shomen la série est alors répétée une nouvelle fois. Son exécution doit être la plus pure possible, elle est demandée pour tous les passages de grades au moins jusqu’au 4eme Dan .
  • Korosu : Littéralement, « tuer ». En kendo c’est le fait de « détruire » la stabilité de l’adversaire en utilisant une des trois méthodes fondamentales d’attaque.
  • Kyu : 9, neuf.

 

M

  • Ma Ai : Notion de l’intervalle d’espace et de temps qui sépare les deux adversaires.
  • Mae : En avant.
  • Maki Otoshi Waza : Technique d’attaque de l’arme adverse avec son arme, par un mouvement circulaire des mains à partir de la poignée.
  • Mannaka : Centre.
  • Me : Un oeil. Les yeux.
  • Men o tore : « Enlevez le casque »
  • Men o tsuke : « Mettez le casque »
  • Men (Yoko) : Frappe sur le sommet latéral de la tête, de chaque côté.
  • Metsuke : L’endroit ou s’attache le regard. Par extension, en kendo les façons de regarder l’adversaire.
  • Migi : A droite. Le côté droit.
  • Mokuso : Méditation. Exercice durant lequel on fait « le vide » en fermant les yeux avant le salut.
  • Mono Uchi : Tiers supérieur de la lame du sabre (côté pointe), seule partie valable avec laquelle le pratiquant peut frapper pour marquer un ippon.
  • Mune : La poitrine. La partie supérieure de la cuirasse « DO ».

 

N

  • Nakayui : Nom du lacet plat de cuir qui,entourant le shinai à 25 cm environ de la Sakigawa, assure la cohésion des lames et détermine la partie valable pour la frappe.
  • Naname : « En biais ».
  • Ni : 2, deux
  • Nisoku itto no ma ai : Distance, par rapport à l’adversaire, qui nécessite deux pas (NISOKU), pour porter une attaque valable (ITTO).
  • Nitô : Deux sabres.
  • Nodo : La gorge.

 

R

  • Rei : « Saluez »
  • Reigi : La politesse, les convenances.
  • Reiho : Les règles qui régissent la politesse.
  • Renshi : Titre japonais de premier niveau qui peut être obtenu à partir du 6è dan pour un instructeur.
  • Riki : La force, application de la technique.
  • Roku : 6, six.

 

S

  • San : 3, trois.
  • Sei Retsu : « Alignez vous ».
  • Seiza : Position à genoux assise sur les talons.
  • Shi : 4, quatre.
  • Shichi : 7, sept.
  • Shiaï : Assaut de deux kenshi lors d’une compétition arbitrée
  • Shinaï : Le sabre en lame de bambou pour la pratique des coupes réels sur un partenaire.
  • Sonkyo : Position accroupie, le buste redressé l’arme pointée devant soi. Position par laquelle on passe en « dégainant » ou en « rengainant » l’arme, au début et à la fin des exercices ou des combats.
  • Suburi : Exercices d’entrainement permettant un bon échauffement.
  • Suburi (hayas) : Les Hayas Suburis sont une forme particulière des Suburis . Très rythmés ils consistent en un déplacement souple d’avant en arrière, on arme sur le recul, on frappe en avançant. Ils permettent de travailler souplesse, souffle et vitesse.

 

T

  • Tai Sabaki : La façon de bouger son corps.
  • Tenugui  : Le tenugui est un morceau d’étoffe en coton, se nouant sur la tête avant de mettre le men son rôle principal est d’absorber la transpiration et occasionnellement de participer à l’absorption des chocs.
  • Tsuru : Le tsuru est la petite cordelette (jaune ou blanche) qui sur le shinai représente la partie non tranchante de l’épée.

 

U

  • Uchidashi : Uchidashi prend l’initiative de l’attaque dans l’exécution des Katas de fait on peu considérer qu’il le dirige. Il crée l’occasion à shidashi afin que ce dernier puisse porter une contre attaque.
  • Ura : Coté droit du tenu en garde.

 

W

  • Wakare : « Séparez-vous »
  • Waza : Technique. Par extension, formes techniques variées.

 

Y

  • Yame : « Cessez »

 

Z

  • Zekken : Etui de tissu qui enveloppe la protection centrale du tare. Y sont inscrits de façon très visible, le nom du pratiquant et du groupe qu’il représente.
  • Zen : Méditation. Nom donné à une branche, d’origine chinoise, du Bouddhisme, au Japon, elle a influencé très tôt le comportement des classes de guerriers.
  • Zenshin : Littéralement: « esprit qui demeure« …d’où la notion très forte de vigilance, durant toutes les actions, y compris après une frappe où aucun relâchement de l’attention ne doit survenir.
  • Zenshin kotai : Progression alternée vers l’avant et vers l’arrière.
  • Zeri ai (tsuba) : On peut considérer cette position comme une garde très rapprochée car les tsubas des deux adversaires sont au contact, les lames croisées et dirigées vers le haut.